Ce cœur qui n’était  pas le tien,
Ce cœur qui t’avait redonné vie,
Ce cœur s’est arrêté de battre.

Ce cœur qui t’avait été donné,
A généré tant d’amour, de volonté de vie,
Tant de disponibilité d’affection,
Tant d’engagements en nobles causes,
Tant de quotidien dévouement !
Leur souvenir ému assiste notre tristesse.

Ce cœur qui t’avait été donné,
T’inspirait comme un devoir
De « servir » et d’aimer.
Souci des autres, générosité
Accompagnaient ta vie
Et suscitaient notre admiration !

Henri, tu rayonnes encore dans nos cœurs,
En amour, en affection, en amitié,
Ton image, ta voix sont encore vivants.
Et dans le voyage inter-galaxies que tu entreprends,
Puissent les étoiles répercuter vers nous,
D’écho en écho, un murmure d’amour  !

Gérard Denecker

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